Malsoir à vous !
Si je m'adresses à vous en ces temps magnifiquements cruels, c'est pour rejoindre votre secte radicale et redouter.
Je vais vous conter une histoire, qui j'espère vous donneras l'envie d'écorcher des gorges pures.L'histoire commença le 14 Novamaire 638, un soir lugubre comme je les aimes. Issu d'une famille bourgeoise et d'un père idiot et fervant partisant de Bonta. Pendant douze longues années de ma vie je suivis les cours traditionelles sur la défense et le soit disant bon sens. Douze ans me direz vous, quel court temps pour des études, certes... L'arrêt de ces maudit cours était proche. Dès que j'arrêta ceux-ci, ma mère me gronda et mon père me baffa. Un rire sortit de ma bouche, il me regifla. Je rigola de nouveau et le regarda, une haine vint en moi, mais pas la haine qui me fit rappeler l'époque ou je n'avais pas eu mon jouet. Une haine dévastatrice, qui me sortit hors de moi même. Mon père releva la main sur moi mais prit de vitesse je l'arrêta. Suivis de ça, un autre coup de rapidité de ma part le coucha au sol, ma mère hurlait de frayeur, en ne serait-ce qu'une seconde je lui avais briser la nuque et avait déchiqueter le torse de mon père, le voilà qui agonisait et moi qui jouissait de cela. Le sang coulait, et je le lecha, petit à petit jusqu'à remonter sur son torse aux intestins qui se faisaient la belle. Une idée sordide me vint à l'esprit, celle de l'etouffer avec. Je n'ai jamais ressentis un tel état euphorique en moi. L'assassinat de mes parents était ... Jouissif.
A la suite de ce plaisir, je pris avec moi quelques bagages, une arme familliale, un baton. Et m'enffuyat de cette ville qui puait la rose, et partis vers une région plus sombre : Les Landes de Sidimotes.
A cette endroit mystérieux que je ne connaissai pas, je découvris des cadavres, de féroces bêtes, des truands, des pilliards et un tas de sorte rejetons de la soit disante vie. Mais au final, qu'est-elle ?
C'est aussi ici, dans cet endroit que je découvra Lefk,
un maitre Féca, tout comme moi, qui m'apprit les bases de la magie noire. L'expérience grandissa et ma pitié se diminua. Non... Je n'étais pas une machine, j'étais un monstre, une bête assoifée de sang, de meurtre et de purification.
152 jours plus tard, mes pouvoirs démoniaques étaient à leur maximum, enfin, au maximum que je pouvais apprendre théoriquement. Désormais, c'était à la pratique de m'exercer.
Je me présenta devant Oto Mustam, m'agenouillat devant lui, et lui demanda de m'accepter dans ses rangs.
Sa seule question fût " Es-tu un faible serviteur qui me rejoind pour avoir de petites ailes ? Ou vas-tu me vénérer jusqu'à ta mort ? " Ma réponse fût simple, clair et précise " mortem bontarian "
A la suite de cette action, je me mis en quête de confrères... A la taverne d'Atolmond, un viellard pochtroné m'annonça : " Petit, tu veux une guilde de vieux Brakmariens puant ? Va à la maison des primum nocere " Je ne répondis pas, je lui tranchas chaque membre et lui fis avaler. Pourquoi ? Son odeur puait la rose, la rose de Bonta. Mon odorat est fin, ma vision est percante et mon ouie est étonnant. Les bontariens devraient se cacher où ils se verront bruler dans les entails de
mes flammes, foueter avec mes batons et anéantir par mon marteau ou découper par ma hache. Ainsi soit-il.
C'est ainsi que je vins à postuler chez vous, en espérant y trouver refuge.
M'accorderez-vous ceci ? Je verrai bien.
Je passerai chaque soir.