Candidature:Master-nini [abandonnée]

Oyez ! Oyez braves gens!
Mais les couards peuvent oyer également, bien sûr.
Par une douce matinée printanière, alors que le soleil se lève lentement sur les grandes étendues d'Amakna, comme tous les matins d'ailleurs car s'il ne se levait pas on aurait l'air malin... Je disais donc, par une douce matinée printanière les habitants du village se réveillent peu à peu, dans un concert de bâillements et d'étirements. Les uns partent au travail tandis que d'autres se remettent difficilement de leur soirée de la veille, certains découvrant même avec surprise à leurs cotés un visage inconnu dans une tenue... plutôt hors de leur tenue. Bref, c'est une matinée comme les autres en Amakna. ... ... ... Comment ça comme les autres ?! Evidemment que non, sinon ça n'aurait aucun intérêt =)) ! La matinée, toujours aussi douche, toujours aussi printanière, s'écoule au rythme... au rythme... au rythme d'une matinée qui s'écoule, et le soleil grimpe doucement dans le ciel. L'activité commence dans le village, les boulangers commencent à cuir leur pain tandis que les bûcherons partent au bois, que les paysans partent aux champs que les forgeurs de pelles forgent des pelles et que les forgeurs de marteaux forgent leurs marteaux. Au milieu de cette activité florissante, un jeune Eniripsa fraîchement sortit des jupons de sa sadidette de maman marche à travers le village, un sac sur le dos et clamant ses offres. Ce jeune garçon, c'est le dernier livreur recruté par le Zooooooornal, le célèbre journal Amaknien. Que dit-il, me demandez-vous ? Écoutons le de plus près...

" Demandez la dernière édition du Zooooooornal ! En exclusivité et rien que pour vous, une superbe interview de George Abitbol, le célèbre dirigeant de la firme Ketru En Kevra ! Il répond au Zooooooornal à propos des rumeurs qui circulent sur des détournements des fonds du K.E.K. pour se payer un superbe appartement de 200 m² en plein centre-ville. Le tout gra-tui-te-ment ! "

Le jeune homme se tait. Les gens viennent, comme tous les jours, lui demandent des précisions, comme tous les jours, et s'en retournent, comme tous les jours...=)) Mais, à la différence des autres jours, avant que le petit ne continue à suivre le parcours habituel, il aperçoit un autre petit groupe... Curieux, il s'en approche et voit que les gens sont réunis autour d'un sadida blond à l'air bizarre. Il entent le sadida déclamer...

Oyer Oyer cher gens !! Vous avez entendu parler de cette guilde denomé Primum Nocere =) il parait que dans leur guilde on raconte pas mal de blague et beaucoup de battu sont organisé mais cela et réservé au guerrier expérimenté si vous voulez rejoindre nos rang veuillez m'écrire ou venir me voir dans mon auberge d'amakna .

Quelques jours plus tard ... Moi Master-nini , (ah oui j'avais oublié de vous dire mon nom =P ) j'allais rendre visite a ce sadida un peu bizarre,qui me renseigna pour rejoindre les rang de cette guilde,mais dans le contrat mon âge ne convenais pas, (Malheureusement) j'avais a peine quelques années devant moi,mais j'étais motivé et une Eniripsa très réputé me prenna sous son aile,je progressé de jour en jour j'usqua atteindre le niveaux requis,j'avais atteint le cercle 140 décidé !! J'allai revoir ce sadida qui avait veilli depuis le temp,il me faisa passait des épreuve qui était a ses yeux insurmontable pour moi petit Eniripsa,mais je les réussi toute avec succés,surpris de mon agilité et de ma force,il me dit tu as beaucoup a faire dans les rang de Primum Nocere,mais malheuresement ce n'est pas a moi de décider de ton sort enfin plus maintenant .....
Si ce soir je vous écrit ces pour redécouvrir le monde des douze en votre compagnie parce que j'aime votre guilde =)) et que je suis brakmarien aussi XD bon beh voilà j'espère que vous avait aimez ma petite histoire et que l'on se revéra très bientôt …..

Maudit minotoror... Yopimarus exécrait l'avoir comme adversaire. Régulièrement il se rendait dans son antre, espérant y dérober le précieux dofus qu'il ne cache on ne sait où dans ses montagnes d'excréments. Chaque fois, il repartait bredouille, obligé de quitter les lieux sous peine de mourir d'asphyxie. Cette fois-encore, c'était le cas. Et pas moyen de l'achever définitivement, non ! Chaque fois cette brute épaisse sans cervelle devenait fou lorsqu'il était gravement blessé, balançait des tofus partout puis s'enfuyait dans les méandres de son labyrinthe, rejoignant son maître le minotot, qui finalement faisait de même une fois lui aussi vaincu. Bref, c'était un cercle sans fin, et l'eniripsa était furieux de revenir une énième fois les mains vides. Le jour n'allait pas tarder à se lever lorsque Yopimarus rentra enfin dans sa chambre épuisé. Il s'allongea dans son lit en grommelant, et tenta de trouver le sommeil.

Bien sûr, celui-ci ne vint pas, et bientôt les premiers bruits de Brâkmar s'éveillant se firent entendre. De plus en plus énervé, l'eniripsa se retourna encore et encore dans ses draps, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus: un livreur du Zoornal braillait d'une voix stridente dans la rue. Excédé, l'eniripsa lança un mot d'immobilisation par la fenêtre vers l'importun, descendit à toute vitesse les escaliers, saisit le crâne du jeune être, le traina à l'intérieur du bâtiment, et l'écrasa violemment au sol décidé à mettre un terme à son existence. Au moins, ça lui permettrait peut-être de trouver le sommeil.

Malheureusement, ce jeune livreur était lui aussi disciple d'eniripsa, aussi se remit-il bien vite du sort lancé par Yopimarus. Quelque peu effrayé, il commença à gigoter dans tous les sens si bien que son agresseur dut le relâcher. C'est alors qu'il prit conscience de l'endroit où il se trouvait, et un sourire béat s'afficha sur son visage.

Interloqué par son expression, mais toujours aussi furieux, Yopimarus lui somma d'expliquer sa réaction. Master-nini, car tel était son nom, s'expliqua aussitôt. Assez peu convaincu, Yopimarus se calma néanmoins: une nouvelle recrue permettrait tout de même de rendre sa journée moins infructueuse, aussi remit-il à plus tard son projet d'aplatissage de crâne à coup d'ougarteau.

"-J'ai peu de temps à t'accorder, mon lit m'attend. Je vais te demander deux choses: d'une, de ne plus crier une seule fois, ou alors considère toi comme mort. De deux, il va falloir que tu présente davantage ta motivation brâkmarienne. J'entends par là que tu le dis comme si c'était un détail, or ce n'est pas le cas: c'est au contraire central dans notre guilde. Si pour toi, être brâkmarien n'est qu'une affaire d'habitat, alors tu n'as rien à faire ici. Avant d'êtres brakmariens, nous sommes des démonistes, et tu me semble avoir un côté candide assez désagréable. Tâche de me convaincre, ainsi que mes confrères qui ne devraient pas tarder à se montrer, et tu auras peut-être une chance. Si tu ne t'en sens pas capable, sors immédiatement, et ne t'avise plus de revenir dans cette rue."