[Candidature] Mr-Fashion [Accepté]

Assis auprès de feu, sur sa chaise à bascule, monsieur Rabz réçita, à ses enfants, l'histoire de l'Enutrof "Fashion" :

<< Nous sommes en Juissidor, l'année 637. Le monde d' Amakna est bouleversée entre les guerres, les apparitions de créatures inimaginables ou bien de création d'île jamais visité mythiquement hantée.

Un viel enutrof, du nom de Mr-Fashion, n'entendit jamais parlé de ces guerres, lui qui a érré dans une petite cabane au nord de la Foire du Trool,lui qui est marié a une très moche xelorette, lui qui est père d'une jolie enfant adopté sacrieuse.

Cependant un soir, des coup de lames retentissent au dehors de sa maison. Trois gardien de Bonta était venu réquisitionner sa maison, pour en faire un dépot d'arme. Chassé, ces pauvres gens n'avait plus de lotissement. Ils décidèrent donc de voyager en direction de Bonta, pour trouver un égout convenable.

Arrivé a la porte de Bonta, leur petite fille se sauva, quelque chose lu avait prétée attention. Ils étaient mainteant seuls. Leurs petite fille avait disparus au dela du brouillard. Un garde de Bonta les interpella :

- " Et vous ! Que faites vous ici a cette heure çi ? "

N'ayant le temps de répondre, les gardes les insulta d'espion Bramarien. Il brandit sa hache au dessus de sa tête. Ces pauvres gens allaient mourir. Mais c'est alors qu'une épée transperçit ce dernier. Au même moment de se relever, l'ombre avait disparus. Pourquoi ce garde fut si méchant? Déja le coeur de Mr-Fashion était hanté, plein de rage envers ces maudit Bontarien, déloyaux mais très faibles.

La nuit devenait de plus en plus glacial. Les deux amants de gelaient. Ils commençaient a s'endormir quand ils ressuent de violents coup sur leurs têtes. Un chef de la garde les accusa de meurtrier, voyant le corps du garde dégouliant encore de sang. Le chef avertis une patrouille et les emmena en prison. C'est alors que, derriere un arbre, la petite Chatiment-Divin avait tout vu de la scène, jura de venger sa famille. >>

Cette sombre histoire semble illustrer la magnanimité et la calvicie naissante de l'enutrof se présentant dans l'antre.. se dit le noble et auguste fils d'enutrof Wang.

Tu te présentes enfin à nous, Mister..
Wang ricanait.

Prends place à la table et sirote donc une petite bière Djauliesque en attendant le passage de nos dignitaires, je te tiendrai mauvaise compagnie jusque là.

Wang jetait un oeil dans les rues de Brakmâr où le vent (qui parle du retour d'un grand dragon?) s'affairait à faire virevoleter les os de chafers..

Sortant du cellier réservé aux animaux, la Xélorette haussa un sourcil amusé en voyant Mr-Fashion. Elle jeta un poisson au chachat sur son épaule et s'installa dans son fauteuil.

Tiens, tiens, Mister qui se présente devant nous pour rejoindre nos rangs, quelle surprise. Arborant toujours ce blason de seconde zone néanmoins, tâche d'y remédier si tu espères avoir accès un jour à ce clan.

Esquissant un sourire, elle se tourna vers le fossile de service.

Si tu veux saoûler les postulants, fais le au moins avec le top. Une bonne bière volée sur un cadavre, ca donne plus de plaisr à être savourer.

La Maîtresse Nocere tappa alors dans ses mains, ce qui eut pour effet de faire descendre Laquilia. Sa hache dans le dos et ses sertisseurs à la ceinture, elle alla dans l'armoire du fond et servit deux bières de bwork aux viocs.

Continue donc le récit que tu as commencé, Mister.

Le vieu livre de monsieur Rabz avait subis deja plusieurs siècles, et effectivement, il manquait un morceau du livre. Monsieur Rabz chercha dans son grenier si la page arraché se rouvait au même endroit que le livre fut trouvé. Par hasard, il tombit sur un vieu papier griffoné, où était écrit la suite de la violence du garde :

Déja le coeur de Mr-Fashion était hanté, plein de rage envers ces maudit Bontarien, déloyaux mais très faibles..............................

Monsieur Fashion décida donc de faire route vers Brakmar pour chercher de l'aide. La route était sombre, pleines d'animaux méchants. Monsieur-Fashion et sa femme réussirent à ésquiver la plupart de "grands chiens" ou alors de "putrides scorpions". Cependant, une horde d'ouginaks tendèrent une embuscade aux deux vieux mariés. Ils se croyaient perdus...

C'est alors qu'une petite foule de démons défendèrent le viel enutrof et la xelorette. Quel puissance entre quelques coups de marteaux, quelques coups de batons ou encore de pelles. Les ouginaks étaient deja reduit en miettes. Ces gens la parraissaient immortels. Parmis eux figuraient un viel enutrof, qui me tendit ce discours :

- " Et bien nain, que fait tu là ? Sans nous vous seriez de la bouillie ! Venez donc prendre une bierre de bwork, vous et votre femme ! "

Les pauvres gens furent acceuillis en tant qu' hôte de ses êtres diaboliques. Ils conduirent nos deux héros dans un antre au coeur de Brakmar. Sur la porte de cet antre figurait un blason Rouge, comme le sang. Avec gravé en plein milieu " Primum Nocere ". Avec déduction, il devait sagir d'une guilde. Les habitants de cet antre y firent entrer les deux amants. A l'interieur se trouvait encore des démons aussi méchants les uns que les autres.

C'est alors qu'un d'entre eux, surement le plus féroce de tous fit grincé une petite porte caché au fond de la pièce. D'un signe de main, mais pas très fiable, il lui fit comprendre de venir et rentrer dans la sombre salle. Il s'executa. Dedans, un ange suspendut par les pieds attendit son heure. Mais un bourreau tendit une lame flamboyante a Mr-Fashion et lui expliqua qu'il devait choisir sa voie. Se repallant de son vécu a la Porte de Bonta et de ces pitoyaux gardes, Mr-Fashion saisit la lame et transperça le prisonnier. Une satisfaction se ressentit dans ses yeaux et il s'exclama :

- " Qu'il en soit ainsi. "

Sa femme sentit que la haine envahissait l'âme de son époux. Elle voulut intervenir, mais celui çi replenta la lame, mais cette fois-çi dans le ventre de sa bien-aimée. Puis, celui qui semblait être le leader de cette assemblée lui decerna le grade de Néophite....

Monsieur Rabz ne put continuer a cause d'un passage manquant, vu la qualité de l'écriture. Il décida alors d'aller se coucher car cette hisoire l'avait bouleversé.