Il était une fois ... [Recruté]

Plus loin, après avoir insisté auprès de Darkelius pour que celui-ci aille ouvrir la porte (car la jeune Eniripsa était atteinte de paressus languis aiguë), la jouvencelle ailée se contenta d'observer son ami à l’œuvre. La porte s'ouvrit sur une jeune femme dont le bustier pointé vers le bas laissait entrevoir la galbe de ses rondeurs exquises. Se penchant légèrement sur le côté pour mieux reluquer, elle ne pu qu'entrevoir l'objet de sa motivation à bouger. Nowah ce se raffermit sur sa chaise lorsque la cruellement sublime Mawa passa près d'elle, nonchalamment, jetant un coup d'oeil entendu vers le Sacrieur dont elle n'avait aucun doute sur les compétences à faire le mal. Pour éviter de se faire sermonner, elle entreprit de s'avancer près du jeune homme pour feindre de venir l'aider à faire fuir la vermine, mais arrivée près de lui, elle ralenti le pas pour lui offrir l'occasion de bouillonner un peu plus devant la disciple de Crâ aux chairs fermes. L'Eniripsa se posta près de son confrère.

- Dit, Darke, ça serait pas la catin que j'ai payée pour dérider Yopi ? Avoir su qu'elle avait un tel.. Charme, je l'aurais gardée pour moi.

Dévoilant un froid sourire pervers, elle observa le visage de la femme en face d'elle changer de l'assurance à l'interrogation. La moue et le sursaut mal à l'aise qui changea son humeur fit tressauter sa volumineuse poitrine. Nowah ne pu s'empêcher d'avoir une pensée frivole : mordre dans cette peau rosâtre devaient éveiller quelque chose de violent et sadique. Délicieux.

Le ton arrogant de la Crâ irrita les oreilles pointues de la jeune femme. Eh oui, Nowah est une femme. Surprise ! La fée, de son angle, avait une vue incroyablement ouverte sur le buste de son interlocutrice. Cette dernière s'agenouilla devant elle. Nowah resta de glace, bien que la douceur d'une peau innocente lui était un supplice, son abstinence lui fit réaliser, car étant une femme elle-même, elle connaissait toutes les ruses par la chair, en ayant souvent usé elle-même, que la longue Elfe tenterait de tirer profit de sa fascination. Offusquée du rire aiguë de l'archère, croyant qu'elle la raillait sur sa grandeur, elle se renfrogna et s'extirpa de son fantasme. La disciple d'Elya Wood repoussa violemment l'autre femme, sans réelle grâce, confuse par l'humour tranchant. Posant ses menus poings sur ses hanches, elle se fit hautaine et méprisante envers la future ex-postulante.

- J'te la laisse, Darki'. Tu l'escorteras à Yopi' quand tu en auras terminé.

Nowah présenta un dernier rictus à la Crâ, ses yeux verts s'évadant entre les hanches et le cou de cette dernière, avant de faire gracieusement volte-face. Certes, les formes rebondies n'étaient pas un atout dont jouissaient les femelles Eniripsa, mais leurs mots et leur grâce svelte dû à leurs racines Elfiques en faisait de redoutables amantes.

Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Darkelius. La scène était à s'en tenir les côtes mais il ne voulait pas subir la colère de l'Eniripsa. Une fois partie, la crâtte à terre, le Sacrieur sortit et referma la porte.

- L'escorter jusqu'à Yopi' ? Et en quel honneur, nan mais... On va lui faire penser qu'elle est admise. Darkelius sortit une de ses dagues, s'adossa à côté de la porte et fit habilement tourner son arme autour de son index. Faisons simple. Si tu tentes d'entrer maintenant, t'es morte. Si, par le plus grand des miracles, tu réussis à m'éliminer et entres, t'es morte. Maintenant, essaie de me convaincre de te faire entrer.

Le Sacrieur pencha la tête et fixa sa dague qui semblait faire des ronds toute seule autour de son doigt.

- Ah aussi, si tu veux vivre... Ne tente pas le coup du charme. Ça me donnerait envie d'ouvrir le joli buste que tu as et de donner tes organes en nourriture à mes dragodindes...

Darkelius soupira...

- Nous seuls pouvons dire ce qui fait que quelqu'un mérite sa place. Le critère "je cherche une famille", qui est, en gros, ce que tu viens de me servir, ne fait pas parti de ceux qui poussent notre jugement à accorder l'intégration. Bon nombre de personnes cherchent une famille, une guilde, des frères d'armes ou autre mais peu sont dignes d'êtres des Noceres. Es-tu sûre de savoir ce qu'est réellement notre guilde ? À t'écouter, j'en doute fortement. Ça me donne presque envie d'appeler le major d'homme pour passer le balai. Lui chuchote : C'est une espèce de vieille planche de bois solide avec des clous rouillés au bout...

Vodka, une crâtte elle aussi, revenait de son massacre quotidien avec l'intention de se désaltérer à la maison des Nocere. Arrivée à 10 mètres de la porte, elle vit une silhouette devant Darkelius, qui lui même était devant la porte.

Rhanlala.. c'est quoi ce bouchon? dit-elle avec un air blasé.

Elle allait faire demi tour seulement elle avait vraiment envie de se faire une petite bière du Chabrulé auprès de Malm et embêter Virusk en passant. Elle décida donc de continuer son chemin vers la porte. Une fois devant la porte, elle vit la crâtte en train de s'expliquer avec Darkelius.

Haaan.. une postulante de ma race ? Ça faisait un moment que ça n'était plus arrivé. Malheureusement pour toi, tu ne pourras jamais être plus jolie que moi! HAHAHA

Elle se détourna en riant et commença à raconter sa journée à Darkelius. Puis en voyant la crâtte toujours devant eux, demanda ce qu'elle avait raconté de bon jusqu'à présent.

Je vois... , dit-elle en prenant son temps pour continuer ce qu'elle avait à dire. Hé bien dis moi... Que penses tu pouvoir apporter à notre guilde ? Car jusqu'à présent tu dis que la guilde t'apporteras beaucoup à toi mais nous n'avons pas besoin d'un boulet. Raconte moi donc moi un de tes exploits.

La jeune Disciple Crâ vint une autre très belle crâtte arrivée, bien qu'un peu distraite, elle essayait tant bien que mal de montrer qu'elle était liée depuis toujours à cette guilde. Alors elle se reprise en main :

Je suis depuis toujours dévouée à Oto Mustam, je le sers depuis mes débuts, jadis, le bien ma trahit, et depuis ce moment là, le mal est gravé dans mon âme, et je ne regretterai pas de faire souffrir ces Bontariens tous plus méprisants les uns que les autres. Je n'ai soif que de vengeance, et vous m'avez été présentés comme les plus grands de ce milieu, je veux écraser la vermine, les ailes de cuirs vaincront.

Après ces quelques mots qu’entrepris Lyzi, où elle y exprimait son ultime dévouement pour le mal, elle était fière d'avoir eu le courage de postuler auprès de cette toute puissante guilde, c'est alors qu'elle décida de se trancher la cuisses avec la pointe de sa flèche, en signe de reconnaissance envers les Nocere, la jeûne crâtte était éperdument attiré par se côté plus sombre.

... Un long silence prit place.

- Mais qu'est-ce que vous avez tous à vous mutiler ? Est-ce qu'on vient à bout d'un ennemi en se coupant un bras ? Le Sacrieur réfléchit un instant. D'accord... Je veux bien te laisser entrer mais avant... Lance un coup d'oeil complice à Vod' ... On doit t'attacher les poignets dans le dos et te bander les yeux.

Darkelius croisa les bras en regardant la postulante en signe d'attente de réponse.

Plus loin, on entendit une voix cristalline percer à travers la pesante pénombre du hall Nocere :

- Ça suffit les fantasmes sexuels, Darke !

Le Sacrieur, se retournant, vit la disciple d'Eniripsa porter une main gracile et faussement désolée à son sourire perlé, ce après quoi elle s'enfuit en riant.

La jeûne crâtte, disciple du grand Oto Mustam eût sur le coup, un semblant d'espoir, mais après la réplique de Nowah, elle comprit que ce n'était pas encore fait, alors elle attendit une vraie réponse ou un simple signe. Aillant besoin de se dégourdir les jambes, elle partit dégommer des Crocs glands pour patienter.

[ Je t'invite et tu pars ? x) ]

Voyant la Cratte se retourner, le Sacrieur l'attrapa par le bras et la stoppa.

- Hep là ! Je te propose d'entrer et tu t'en vas ? Si c'est du foutage de gueule, tu risques de le payer très cher !

Lyzi, avait très mal comprit ce qu'avait dit Darklius, après la réplique de Nowah, elle s'attendait à une fourberie, alors qu'en faite, non, c'était une réelle invitation de la part du Disciple Sacrieur, alors, toute dévouée à servir les grands Noceres, elle se laissa guidée.

La jeune crâtte avait très bien comprit l’intérêt d'être dans cette guilde, une fois qu'elle y serait, elle ne pourra que s'améliorer, Lyzi n'est pas une crâtte arrogante au point d'insister sur le faire qu'elle sera indispensable chez les Noceres, elle le savait pertinemment, mais le point où elle insistait, c'était sur le fait qu'elle serait utilise, et ça, elle le savait.

Alors la jeune disciple Crâ s'entraina dur comme fer pour avoir plus de chance d'entrer parmi ce clan, tant redouté par les ailes de plumes, elle s'entraina si dur, que depuis la première rencontre avec les Noceres, sont cercle avec augmenté d'une vingtaine de niveaux, elle était obstinée à intégrer cette guilde. Bien plus que pour n'importe quoi d'autre.

Pour elle c'était le moment, elle sentait que son heure n'allait plus tardé à sonner, alors elle se mit à réfléchir, à penser comment elle pourrait réellement servir, en vint, elle trouva,


A mais oui !

en effet, c'était juste sous son nez, bien qu'elle, en tant qu'unique joueuse elle ne pourrait pas être indispensable pour aider, mais elle fera tous ce qui est en son possible pour combler les attentes qui qi lui seront confiées, et elle sera prête à faire n'importe quoi.

Maintenant, Darkelius l'avait invité à rentrer, et c'est ici que tout commença.

Yopimarus avait suivi la scène avec amusement. Il avait d'abord cru, comme Nowah lui avait annoncé, qu'il s'agissait du morceau de chair lui étant destiné. Il avait donc aiguisé son scalpel, mais il découvrit qu'il s'agissait en réalité d'une postulante. Décidément, l'antre semblait intéresser les personnes du sexe faible en ce moment. L'échange qui s'ensuivit entre Darkelius, Nowah, Vodka, et elle, bien qu'assez comique, révéla une grande partie de la personnalité de la craette. Il s'avança donc et lui adressa ses mots:

-Tu sembles être réellement motivée pour entrer chez nous, cela ne fait pas de doutes. Ta puissance est suffisante, mais tu lui accordes une importance peut-être trop grande. En effet, ce qui te manque, c'est un état d'esprit plus sombre: ton humeur relativement légère et joyeuse manque à mon gout de cynisme. Il est tout à fait possible d'être joyeusement ignoble, mais le fait de se mutiler ne t'apporte finalement pas davantage d'obscurité: cela doit transparaitre dans tes actes, dans tes paroles... Tu te dis dévouée à Oto-Mustam, mais nos registres indiquent que tu n'as qu'accompli qu'un petit nombre de travail pour lui. Aussi te demanderais-je deux choses: l'aider davantage, et également me raconter, avec la délectation nécessaire, un petit acte d'horreur que tu aurais commis dans ton passé proche ou lointain.

[ HORS RP ]

Malsoir à tous, je voulez vous dire que je ne vais pas pouvoir poursuivre ma candidature pendant quelques semaines, ma famille passe un coup dur et en attendant que tout cela s'améliore je préfère arrêter Dofus durant cet épisode, ne vous étonnez pas de voir mon personnage co, je l'ai prêté pour pas qu'il ne soit inutile, bref je m'éloigne du sujet, si je n'ai pas l'occasion de revenir je serai désolé pour la perte de temps que je vous est occasionnée, mais si j'avais le choix, c'est certains que tous roulerai comme sur des roulettes, enfin bon.

Merci de m'avoir écouté et d'avoir poursuivie ma Rp.

PS : Il est possible que je ne retourne plus sur Dofus, même à la fin du problème, donc si c'est le cas, je vous souhaite une bonne continuation.

Lyzi.

[entendu, je mets la candid en attente du coup, ça s'était un peu éternisé du fait de mon absence, désolé. Fais nous signe si tu veux qu'on ré-ouvre le sujet quand tu seras à nouveau disponible, si bien sûr tu es toujours motivée.
Edit: visiblement, problème résolu, du coup je rouvre.]

La jeûne disciple Crâ écouta attentivement les dires du grand Yopimarus, celle-ci était fascinée par ces paroles, un peu contrariée qu'il ne soit pas certain de la noirceur de son l'âme mais elle était prête à le lui prouver encore et encore, elle répliqua :

Sachez que mon dévouement pour notre maître Oto Mustam est, et sera éternel, jusqu'à mon dernier souffle et même après la mort, j'accepterai toutes les quêtes les plus sombres que je pourrais avoir l'honneur de réaliser pour lui, soyez-en certain.

Un matin de d'Octolliard, après une cuite de la veille, je me rendis à la Taverne, pour décuver, c'est alors que je vis un serviteur aux ailes de plumes, mais pas n'importe quel serviteur, celui qui, étant petite, à fait souffrir ma famille, jusqu'à nous enlever notre mère pour la " protéger " nous disait-il, mais dès ce jour là, on ne la revit jamais.

Bien que très amochée de la veille, je su reprendre contrôle de mon corps, alors je pris le milicien, et je l'emmena là ou tous avez commencé, à quelques lieux de là, dans une hutte aux Sud des plaines de Cania, mais il ne savait pas qui j'étais, alors j'en profita pour lui parler de ce que ce lieu lui évoqué, il me raconta qu'une dizaine d'années auparavant, il avait enlevé une femme ici, mes points se serrèrent, je lui demanda qui cette femme était, avec un sourire pervers, il me répondit que c'était une catin, parmi tant d'autre. À ces mots, ma rage fut incontrôlable, je saisis le coup du milicien, le souleva contre un rocher, et je lui planta, pour commencer, la pointe d'une flèche empoisonnée en bas de son ventre. Il devint paralysé grâce au poison, et là, je pu faire ce que j'avais à faire.
J'allonga son corps, toujours vivant, dans sa flaque de sang et je commença, peu à peu à l'écorcher de bas en haut sur sa jambe droit, quand la totalité de la peau manquée, je la sectionna lentement pour qu'il souffre au plus haut point.
Il ne pouvait ni crier, ni bouger, mais sur son visage était inscrit la souffrance qu'il ressentait, et je jouissais à n'en plus finir, pris par le temps, je décida de vite en finir avec cette ordure, je le démembra, un peu moins lentement cette fois ci, mais toujours de manière à ce qu'il souffre, et je partis, son compte à lui, était réglé une bonne fois pour toute.

Yopimarus écouta avec un sourire satisfait le récit de la postulante.
-C'est bien, c'est bien, tu sais faire preuve de cruauté, c'est un atout non négligeable. En revanche, Oto-Mustam a toujours des travaux à accomplir, et c'est pour cela que je te faisais la remarque: tu n'en as accompli que huit jusqu'à maintenant, une dizaine supplémentaire me prouverait que tu es capable d'accomplir des tâches, certes pénibles et ennuyeuses, pour notre cité. Une fois ceci accompli, je pense que nous nous retrouverons pour un ultime entretien, où nous déciderons de ton avenir...