Un murmure ...[accepté]

Un murmure … c’est ce que vous raconterons le peu d’anges lui ayant survécu …

Le murmure d’une prière sûrement …

Un murmure qui vous annonce la fin avant qu’elle n’ut commencé …

Le murmure soudain d’une flèche qui fend l ‘air …

Un murmure qui vous condamne …

Le murmure … Non, plus rien … Juste le bruit du vent dans les arbres …

De la tempête, qui s’éloigne …

Laissant place au chaos … A la peur …


Une silhouette apparue, sortant de la pénombre de la cité …
Une porte grinça … et la silhouette disparue …

Laissant derrière elle, le vent rugir, faisant vaciller une enseigne …
« Taverne de Djaul »

A l’intérieur de la taverne, l’air était chaud et saturé de la fumée odorante des chandelles aux flammes vacillantes. Une silhouette s’approcha du comptoir. Le murmure … un murmure que seul le Jiaye Djaul, le serveur, put entendre …

Jiaye disparu, puis revint, une carte à la main. C’était celle d’une cité, d’une grande cité … Beaucoup vous dirons même, que ce fût la plus grande et la plus prestigieuse jamais construite … Mais peu savent, que dans les fondations, gisent des milliers cadavres d’esclaves bontariens …

Jiaye, sans aucun mot, pointa, d’une main noirci par les cendres stagnantes de l’air, une grande demeure.

Dans un silence profond, où seul le bruit du vent et des flammes craquant le bois se faisaient entendre, la silhouette reparti.


La porte de la demeure de Primum Nocere tonna …

Wayek se tenait là … Un seul regard suffirait pour comprendre ce qui l’amenait …

Un regard profond … plus déterminé que jamais …

Primum Nocere … C’était pour elle la plus maléfique guilde brakmârienne …

Elle voulait apprendre au près des plus grands …

Accroître sa force …

Assouvir sa soif de sang …

En espérant qu’un jour … Le monde des Douzes sombrera dans le chaos des ténèbres …

Des questions subsistaient encore dans sa tête … Arrivera-t-elle a les convaincre ? Son cercle de puissance 150 suffira-t-il ?

Wealthouh passait par là lorsque, à sa grande surprise, une personne osa frapper à la porte de Primum.
Wealthout se tenait, sans bouger, devant ce petit être avec son petit arc, son regard fut alors le même que lorsque qu'il n'y à plus de bière à la taverne...
Il n'entendit pas un murmure mais plutôt une petite chanson celle de la deuxième bouteille de bière qui s'ouvrait Thiiii !

L’enutrof obseva Wayek, dans un silence profond, durant plusieurs minutes. Puis, sans un mot, alla se mettre au fond de la pièce d'entrée à l'endroit le plus noire pour caché sa bouteille sûrement..


Wealthouh pris une grande inspiration et d'une voix roque il dit :
"Primum n'est pas la seule guilde puissante de démon alors pourquoi.. ? … Pourquoi Primum ? Alors qu'on pourrait d'un claquement de doigt te renvoyée six pieds sous terre à l'instant, juste pour avoir frapper à la porte !!"

Après cela Wealthouh repris une gorgé et attendais avec impatience le faux pas de ce petit pour commencer les hostilités.

Yopimarus avait écouté avec intérêt l'échange entre Wealth et la postulante, qu'il avait trouvé assez intéressant. Celle-ci s'exprimait avec un discours à la fois sobre et distant, lent mais sûr, où elle utilisait la force du silence pour y mettre un brin de solennité. Visiblement, elle était consciente du risque qu'elle prenait en se présentant ici, et surtout de ce que cela représentait. Il s'avança.

-Tu ne t'es pas démontée face à Wealth, et ton âme semble être de nature à correspondre à ce que nous recherchons. Je ne peux m'empêcher de m'interroger cependant:ta puissance est suffisante pour être des nôtres, bien qu'elle ne soit pas non plus formidable, mais ton investissement dans la cité pourpre laisse à désirer. Ne pourrais-tu pas prouver que tu es prête à accomplir des tâches pour Oto-Mustam, aussi rébarbatives qu'elles soient ? Une petite dizaine me prouverait que tu es suffisamment déterminée pour intégrer notre guilde. Une fois ceci effectué, ton hésitation à franchir cette porte pour que les membres puissent mieux t'observer et éventuellement t'interroger devrait disparaitre.

Un furieux cri strident déchira par saccades la lourde atmosphère de l'antre Nocere. Une menue femme ailée surgit de la pénombre avec rage, bousculant son confrère disciple de Crâ par la même occasion. Pointant son index gracile vers le sang que la postulante avait fait couler sur le sol, elle s'exclama avec le plus profond dégoût à l'intention de cette dernière :

- C'est quoi ça ?! Hurla la jeune furie. C'est quoi cette manie de vous mutilez, vous, les nouveaux ! Une mode que je ne comprends pas ? Fulminante, elle marqua une pause pour bien peser ses prochains propos. Et qui c'est qui ramasse vos cochonneries, après ? C'est pas Zeke, ni Yopi ! C'est bibi ici ! Éclata-t-elle en un crescendo cristallin, tapota sa maigre poitrine du bout du doigt qui lui avait servit à désigner la flaque écarlate toujours en expansion.

Jurant sans retenue, la fée se mis à marchant dans tous les sens, cherchant frénétiquement de quoi nettoyer le récent dégât. Ayant trouvé de quoi accomplir sa tâche et soigné sans entrain la blessure qui peinait à coaguler, le sol luisant de propreté, elle pointa à nouveau sèchement la nouvelle.

- Si je te reprends à gâcher MON plancher, je te jure que je te fais pousser des ailes de plumes, je te les arrache, je les mange et je les recrache au sol pour te faire un chiffon convenable pour laver tes bêtises ! Cria l'enflammée.

Rouge de colère, Nowah fit volte-face et partit, suivie du regard amusé de son confrère, vers sa chambre assignée en persifflant jurons sur jurons.

Les cris stridents de Nowah hérissèrent tous les cheveux, ainsi que le peu de poil de la crâtte. La crâtte, regardant le morceau de tissu, imbibé de son sang, avait pourtant fait attention de ne pas tâcher le sol.

Wayek se racla la gorge, et s’exprima :

« Je vous prie, Mademoiselle Nowah, la crâtte s’inclina, d’accepter mes excuses, si j’ai malencontreusement tâcher votre magnifique demeure. »

La jeune femme marqua un silence, et repris :

« Si cela eusse été possible, j’aurais sacrifier quelques répugnant bontarien, en dehors de votre de demeure bien entendu.

Je trouve plaisant, de découper minutieusement ces animaux,

Tel un boucher dépeçant sa viande,

J’aime entendre le doux bruit de ma lame transperçant leur chair,

Leurs os se briser, écrasés et broyés.

Mais, l’un de mes petits plaisir personnel, c’est de les lâcher, dans une cage pleine de moskito’s affamés. Seul, ces petits insectes sont des plus inoffensifs. Mais quand ils sont en meute, et plus particulièrement quand celle ci est affamée, ils sont capable de tout pour se nourrir, pénétrant par tous les orifices qu’ils trouvent … »

Wayek ce tut, réfléchi quelques instant et fini par dire :

« Je pense, que je ne vais bouger seulement mes lèvres pour vous répondre et mettre mon corps au repos quelques temps, évitant ainsi de faire d’autres bêtises dans cette bâtisse. »

La crâtte se figea, toute droite, les mains dans le dos, attendant …