Candidature [Abandon]

Bonjour à toute la guilde " Primum Nocere " !

Je vais vous racontez mon histoire. Tout commença le 3 Fraouctor 2011, un jour d'été comme les autres ou presque, je me promenais moi un Cra entièrement banal à la recherche de ma proie Bontarienne que mon chère maître Oto Mustam me demanda de traqué; (Cette ci-belle époque ou les traques existaient encore) alors que je suivais ma proie dans les plaines de Cania le soleil commençais a me donner des Hallucination je ne savais plus ou j'allais, j'étais désorienter ..


A mon réveil je me trouvais à la prison Bontarienne et quelques Bontariens qui passaient me répétait tous la même chose: " Facile pour un Cra de faire du Pvp " ses mots résonnèrent dans ma tête jusqu'à l'énervement ! Je décidas de prendre les choses en mains, je réussis à m’évader de la prison Bontarienne et après quelques mois sans jeu je décida de prouver à tous ses Bontariens que même sans Cra je suis capable de faire du Pvp et de gagner alors je me suis créer un Iop qui commença par l’élément de base pour un Iop : "Terre"


Au bout de quelques moi je trouvais les Iop Terre trop basique et je décidas d'emmener mon Iop voir le "Dieu" des Alchimistes le seul homme capable de remettre les caractéristiques à 0 celui que l'on prénomme " Otomaï" après de longues quêtes et beaucoup de donjon plus ou moins difficile je réussi a exiger tout les voeux nécessaires pour changer ma constitution et mon choix fut de mettre mon Iop full vita avec des équipement intelligence pour être un des rares Iop avec un minimum de capacité intellectuel !


Aujourd'hui je suis donc un Iop full vita de cercle 184 brâkmarien avec des équipements feu ! Ma guilde précèdente se nomme " Sons of Masons " que j'ai décider de quitter de mon plein gré car il n'y a aucune entraide, les personnes qui pouvait accéder aux quelques sorties donjons était les plus "populaires" s'est pour sa que je recherche une guilde avec un minimum de discipline, une ambiance agréable et conviviale et je pense que "Primum Nocere" sera réunir tous ses éléments pour être honnête j'ai croiser quelques fois les membres de la guilde mais ce qui ma donner envie de faire une candidature pour vous rejoindre s'est d’espérer trouvé une guilde ou les joueurs se respectent mais avec de l'ambiance et des sorties donjons et après avoir lu le règlement de la guilde je ne pense pas que n'importe qui intègre la guilde, contrairement à beaucoup ou un simple mp avec son lvl suffit pour l'intégrer !

PS: Même si je ne suis pas accepter dans les "Primum Nocere" j'aurais appris ce qu'est un " RP" que je ne connaissais pas auparavant ceci est donc une première pour moi et j’espère avoir compris un minimum et que ma candidature reste convenable.

Cordialement, Wauny

Dahwa, en pleine organisation des festivités qui approchaient à grands pas pour lui et son escadron, se trouvait las de toutes les complications qui s'abattaient sur lui telle une pluie de météorites face à laquelle on ne peut que contempler la destruction. Alors qu'il décidait de relâcher la pression un moment, il reçut un corbac sur le chemin même de la taverne où il comptait bien oublier ses soucis un moment. Corbac, qui, des son approche de l'éniripsa, se fit pulvériser par une flammiche sortie du creux de la main de celui-ci.

- Foutus soirées, grogna-t-il.

Alors qu'il courrait vers le Chabrulé aussi vite qu'il pouvait, faute d'avoir quelques pigeons sous la main pour se défouler dessus, il entrevu à travers la porte de la taverne du Bwork devant laquelle il passait une de ces boite vide que l'on appel plus communément "Iop", devant lequel, une bière était apparue. Ni une ni deux, l'agilité de l'éniripsa ne lui fit pas défaut. Avant même que quiconque n’eut l'occasion de songer à boire cette bière, Dahwa lâchait son majestueux "rot des cul-secs" comme il se plait à l'appeler, et claquait dans un bruit assourdissant, la pinte asséchée sur le comptoir puis il se mit à rire.

- J'entenda, jeune boite de conserve, tes dires, de l'extérieur de la taverne. L'éniripsa continuait à rire. Et je dois avouer respecter les gens comme toi ; faire d'aussi longues phrases sans même respirer ! Voilà donc le fameux "souffle de iop", impressionnant ! Il rit encore. Puis, sortant d'un pas trenquil de la taverne, toujours aussi bidonné, il répétat : Je décidas d'emmener mon iop voir le dieu des alchimistes... ignorance, quand tu nous tiens...

Puis il disparut, au coin de la porte.