Ceci est mon histoire l'histoire d'un Pandawa. [Annulée]

Invité

J'entrais dans cette taverne pour me rincer le gosier et raconter mon histoire à qui veux bien s'approcher d'un Pandawa couvert de boue et de sang.
Bien le bonjour, bien le Bonsoir
Je vais vous conter mon histoire, l'histoire de Toki

Bref je suis né.
Né de l'amour interdit d'un Pandawa du village Terrdala sous occupation Brakmarienne et d'une jeune Pandawa du village Feudala sous la bénédiction d'Amayro. Né d'un amour qui coûta la vie à mon père.
L'idiot, il a sacrifié sa vie pour moi ? Je ne lui ai rien demandé je n'aurais même pas voulu naître. Ce monde n'est pas fait pour moi, peut être que je viens d'une autre planète du Krosmoz ? Je n'en sais rien ce que je sais c'est que je veux être tranquille et trouver des amis qui me feront rire.

Hey arrête de me dévisager toi ! *Hips* ce que je dis est vrai ! Et je ne suis pas saoul ! Non de non voilà je suis perdu dans mon histoire ! Bon pas grave ! *Hips*

« Engagez-vous » qu'ils disaient … je me retrouve dans la cité qui a tué mon père, je ne sais ce qui m’a poussé à faire ça mais bon c'est fait. Tuer, tuer, défendre, piller, violer la routine habituelle ça ne me dérange pas tant qu’on me laisse tranquille. Mais c'est sans compter sur Oto-mustam qui vient souvent troubler mes journées par ses apparitions dans mon dos
« Oto-mustam : - Bonsoir Toki.
B'soir Chef.
Toki j'ai l'honneur de t'annoncer une promotion. Tu vas faire partie du haut commandement de la fière Citée Sanglante !
Je refuse.
Comment ça ?!
Je refuse vous m'avez très bien compris.
Pourrais-je savoir pourquoi ?!
Parce que je ne serais plus tranquille.
Tu veux dire que tu refuses gloire, richesse et le plaisir d'être craint de tous juste pour être tranquille?!
Affirmatif Chef.
Très bien je respecte ton choix. »

Je savais que cette histoire allait mal finir, je sais d'histoire que Oto-mustam n'est pas un poltron et que s’il est contrarié il y a des conséquences.

Je le savais les conséquences sont tombées ma troupe et moi sommes délégués à lancer un assaut direct sur le Cité Blanche. Quelle poisse c'est un coup à « mourir comme un héros » comme ils disent dans la compagnie. A mon habitude je reste au fond du peloton personne ne me parle et je reste dans ma tranquillité.

L'assaut a commencé nous sommes dans la cité, la beauté blanche commence à me faire douter de mon engagement vers Brakmar. Le sang coule, mes compagnons tombent, à chaque compagnon perdu en leur honneur je jure de prendre une vie de plus. Un échange équivalent, tuez mes frères je tuerai les vôtres. Nous ne sommes plus que deux, dans un sourire et un regard un coin mon dernier collègue tombe. Je sentais mon cœur se déchirer peu à peu. Je pensais me rendre, être prisonnier vaut mieux qu'être mort puis Oto-mustam serait content de me croire mort.
Les années passèrent, les jours passèrent, j'ai perdu la notion du temps depuis des mois. Je suis tranquille je n'ai pas a me plaindre mais quelque chose commence à m'affecter à même temps que la folie me gagne. Une envie, l'envie d'être libre, l'envie de retrouver la lumière, l’envie de retourner dans ma citée. Il me fallait m'échapper !

C'est le jour J mon plan est parfait.
Mon plateau me sert de pelle je retire deux briques du sol de ma geôle pour y creuser dessous. J’ai creuse pendant des jours, des mois pour arriver enfin devant mon objectif. La lumière.
Je fuis vers la liberté tel un Bouftou fuirait devant un Mulou.
Soudain quelque chose me ralentit dans ma fuite.
« Qu...qui êtes vous ?! D...d'où sortez vous ?! J...je vais app...appeler la garde ! »
Rien ne pouvait briser mon rêve d'évasion. Cette Eniripsa n'aurait pas dû parler. Elle ne le fera plus.
Ma cavale reprenait de plus belle, arrivé dans la plaine de Cania un cri de joie et de soulagement sortit de ma bouche : le premier son depuis bien des années.

J’étais devant la porte de la Cité Vermeille j’hésitais à y retourner après mes aventures et mes échecs. Mais voilà c'est ici que j'ai passé ma vie. Je ne pouvais pas ne pas retourner dans mon foyer.
J'étais dans la cité mes amis étaient fiers de mon retour ils me croyaient tous morts mais le pire n'était pas mes amis mais Oto-mustam .
Je fus convoqué dans sa chambre :
« Alors comme ça Toki tu n'es pas mort comme un héros. Dit-il
Non Chef. Je fus prisonnier de guerre, torturé et emprisonné.
Mmmmm bien. As-tu au moins récupéré des informations ?
Non monsieur je n'ai pas pu ma geôle était éloignée de tout je n'ai rien vu rien entendu.
Voilà qui est fâcheux. Je suis au regret de t'annoncer qu’à cause de ceci tu n'auras plus jamais aucun moyen d'être promu et que dès demain tu réaffecteras une nouvelle unité de miliciens.
A vos ordres monsieur ! Merci monsieur !
Vous pouvez disposer. »
Je sortis de sa chambre soulagé et d'instinct je me dirigeai vers cette taverne pour assouvir ma soif Pandawesque et raconter mon histoire a qui voudrait bien l'écouter.

Le vieil enutrof, affalé au comptoir, entendit quelques bribes de l'histoire du jeune pandawa ..

.. un guerrier .. un guerrier .. nous en cherchons toujours .. ils tombent si vite .. vous venez dans cette taverne pour nous rejoindre ou pour siroter votre dernière bière et tenter d'embobiner une demoiselle avec vos histoires .. ?

La pinte de l'enutrof se leva, sa moustache était désormais blanche.

Invité

Le pandawa descend de son perchoir, pose sa choppe.

Je suis ici pour vous rejoindre. *hips* je suis las de la solitude et du froid des prisons il me faut une présence a mes cotés et la chaleur d'un foyer. C'est ça mon nouvelle objectif. La tranquillité m'importe peux à présent je veux une famille.

Il reprit sa place bière a la main et fixa son breuvage l'air pensif.

Belle et séduisante disciple de sram, vicieuse et foube membre de la Nocere. J'était avachie sur ce tabouret de chêne. Buvant goulument le breuvage de ma bonne vieille chope, (gage du patron pour ma fidélité) je fus surprise par l'entrée de ce pandawa. Je ne le connaissais pas, il ne me connaissais pas. Je le dévisagea de la tête au pied, des pieds à la tête. Il était sale, couvert de boue et sentais le fer du sang froid à pleins nez. Me désintéressent, je continua à boire ma bière jusqu'à ce que son échange avec Wang me fasse tiltée.

"Alors comme ça tu veut être des nôtres? Quel est ton intérêt réel pour notre fratrie? Cherche tu seulement à trouver une famille? Si c'est le cas tu peu repartir d'ou tu viens étranger. Nous n'avons que guère le temps à faire du social. Tu trouvera de bonne famille dans la contrée d'Amakna, de celle qui ont élevée les Bworks."

Je m'était exprimé de façons calme et ennuyé, c'était bien une première.. Mais au fond j'était tellement excédée de voir ces êtres rechercher en nous la famille des bisouglours.

Kastyel qui était perché sur une poutre dans un coin de l'antre attendait tranquillement que Sanguis soit suffisamment saoule pour qu'il puisse profiter des plaisirs charnels qu'elle serait prête à lui offrir après sa troisième pinte, mais un trouble fête était hélas venu contrarier ce plan machiavéliquement bien élaboré.

- "Tu mériterais que je t'émascules et que je garde tes attributs en guise de jouet à mâcher pour mon toukancre" dit il au jeune postulant.

- Puis il repris, "Alors comme ça tu cherches de la compagnie ? sache que ne nous sommes pas un clan d'escort-bwork mon cher, j'ose donc espérer que la compagnie que tu recherches est différente, néanmoins comme l'a déjà dit cette sulfureuse sram que tu viens de rencontrer il t'en faudra plus pour me convaincre, j'attend..."

Le pandawa se rapprocha de la disciple de sram et tout en finesse il versa une petite fiole d'hormones de kanigrou en rûte dans la seconde pinte que sanguis s’apprêtait à avaler d'un trait !

Invité

Sortis de ses pensées par les discours de Kastyel et Sanguis le Pandawa leur répondit :

- Une bande de Bisouglours ? Hahahahaha, en aucune façon je ne cherche ceci ! Chaque personne a son sens au mot "Famille" pour mon humble personne, une famille est une horde, tous ensemble dans toutes les difficultés l'un pour l'autre les uns pour les autres, sous une autorité qui empêchera l'anarchie et la mauvaise entente dans la "Famille".
Je ne réclame aucunement des Escorts-Bworks je vous avouerais préférer les personnes de cher et d'os chers amis. Une bière, un logis , des amis ça me suffi , de l'action, d'la baston et me voilà aux anges ! Tel est ma devise !

Toki, heureux de constater que quelqu'un daigne l'écouter bu une grande lamper de son breuvage et retourna dans ses pensées.

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