The-Berserker, les jambes tremblantes [accepté]

The-Berserker naquit dans la première quinzaine du mois de septange 638. Toute sa vie,
il pria la dieu Sacrieur, comme lui avait appris sa mère et son père,
tous deux croyants en la puissance de ce Dieu dur comme fer.

C'est dans une enfance ordinaire et épanouissant qu’il passa sa jeunesse.
Issue d’une famille bourgeoise, ses parents étaient propriétaire d'une maison de grosse taille sur la plage de L'ile Otomaï,
l’île où il fait beau 365 jours par an. Passant la plus part de son temps sur la plage,
il connait la mer part cœur. S'entrainant à la simple force de ses bras,
ce sont les monstres de la plage qui lui ont permis d'augmenter sa puissance.

Son Maître, son mentor et son guide fut son principal ami, il lui apprit tout. Doté d'une énorme générosité,
ce Vieux Sacrieur pas banal lui appris les bases comme respecter son prochain et l'aider le plus possible,
quitte a en mourir. Il pratiqua un entrainement intensif sur l’île Wabbit avec son mentor pendant environ quatre mois,
afin d’augmenter sa puissance, la maîtrise de soi, et la concentration.

Ayant atteint le cercle de puissance 158 il y a peu, spécialisée dans le maniement des dagues,
et toujours en quête de grande aventure, il se lança dans une grande quête qui lui tenait à cœur. Et pour cela,
il dût parcourir tout le monde des Douzes.

Mais, revenant vainqueur de ces trois mois de découverte immense, de trésor en tout genre,
il apprit une triste nouvelle, son Maître de toujours avait trouvé la mort dans un combat ultime face a un Glourséleste.

C'est alors que The-Berserker, l'estomac noué, se promit à tout jamais de défendre les valeurs de son Maître jusqu'à en périr.

Dépitée, il alla noyer son chagrin à la taverne la plus proche, et, l'oreille affutée, il surprit soudain une conversation entre deux
personnes. Un grand brin, barbu racontait qu'il venait d'intégrer un clan nommé «Primum Nocere» et qu'il avait pour but de massacrer toutes sortes de monstre et d'habitant de cette fameuse ville Bonta.
Cette phrase ne fit pas trois tours dans la tête de notre chère Sacrieur pour qu'il décide de se lever renversant sa bière au passage et accourt vers ce grand barbu.

Il dit alors : « Où puis-je rencontrer le Maître du clan dont vous parlez? ». Le barbu répondit en souriant « Tu m'a l'air bien faible,
jeune Sacrieur ». The-Berserker, retenant ses larmes s'exclama « Dites moi où puis-je trouver le Maître de ce clan ! Moi aussi je veux y participer, aider la ville de Brâkmar, la défendre de toutes traître, y faire régner la terreur !». « Dis-moi petit, aimes-tu les combats ? » Répondit l'autre avec qui le barbu
parlait. The-Berserker, sans hésitation rétorqua « Pour sûr ! Je suis un expert dans le maniement des dagues,
et lorsque l’occasion se présente, je suis toujours prêt à aller me battre ! ». Bouche bée, le vieux lui répondit amicalement
« Ecoute jeune homme, vas donc faire un tour à Brâkmar, à l'Hotel de Vente des Alchimiste [-24,40] , ici ce trouve une maison de l'un des membres, tu pourras t’informer sur ce clan ».
C’est donc avec un énorme sourire à la bouche et un soleil radieux que The-Berserker se dirigea vers la maison des Primum Nocere.

Ainsi, il se retrouva devant la porte de leur grande demeure, son parchemin contant toute son histoire à la main.
Il tremblait des jambes. C’était le grand moment, elle respira un grand coup, et toca à la porte avec conviction ...



...10 petites secondes passèrent, le traques les faisant passer pour des minutes ...


--DespE--, après avoir entendu une personnes frappée aux portes de la demeur, s'en alla lui ouvrir. Il tombe ainsi face à un disciple de Sacrieur qu'il contempla avec froideur, comme à son habitude.
- Maljour, que veux-tu donc aux Primum Nocere ? J'espère que tu ne nous déranges pas inutilement, ça serait dommage de prendre la vie d'une personne avec un si beau regard, rempli d'une certaine haine.
The-Berserker salua d'une révérence le disciple Cra.
- Maljour à toi, Frère de l'Ombre. Je souhaiterais intégrer votre clan, et j'espère ne pas devoir vous faire perdre votre temps.
Jetant un second coup d'œil aux rayons du soleil se faisant de plus en plus sombre, il ajouta:
- Peut-être pourrions-nous en discuter à l'intérieur, si vous le permettez?
Kipondaka accompagné d'un compagnon, s'approche de la porte après avoir entendu parler d'intégrer l'alliance.
- Il a l'air pas mal l'alcoolo. C'est quoi vot' petit nom ?
Le Sacrieur lançant un regard en coin au Pandawa qui venait d'arriver
-Je me nomme The-Berserker
Après un nouveau coup d'œil désapprobateur à la lumière de l'aurore, le jeune homme se retint d'ajouter quoi que ce soit et attendit patiemment la suite des évènements.
Yopimarus, alors qu'il était occupé à l'étage, descendit les escaliers en essayant de voir qui se trouvait derrière la gigantesque porte ouverte.
Arrivée derrière Kipondaka, il jeta un coup d'œil furtif par dessus son épaule.
- Paix à ton âme
Puis il alla s'installer au coin du feu.
Physalia etait adosse au mur. Avant de prendre la parole, elle regarda le disciple Sacrieur et pensa: "Mouai, les taches de sang et le regard sanguinaire ne veulent rien dire. Cependant,
il est peut être un bon combattant." Après cette pense très longue, elle s'exclama:
- Entre donc!
- Et bien, pourquoi souhaites-tu nous rejoindre, Disciple Sacrieur ?
- J'ai longtemps erré en Brâkmar depuis mon exil d'Otomaï et je pense pouvoir trouver chez vous ce que je cherche : un clan soudé et sans pitier.
--DespE-- se redresse et avance près du Sacrieur.
- Un clan soudé et sans pitié ? Je doute que ce soit suffisant pour nous rejoindre. Mais avant tout, as-tu assez de courage pour pouvoir nous intégrer. La mort nous entoure à chaque instant, nous sommes autant détestés que craints et beaucoup en veulent à notre vie.
The-Berserker se tourna vers --DespE-- et le dévisagea longuement.
- Je ne crains ni la Mort ni la souffrance. Je serais prête à mourir pour ma Famille.
Yopimarus restait assis a regarder le feu de cheminée, et s'adressa au petit Sacrieur, sans même se retourner
- On reparlera de tout ca devant un verre a la taverne.
Se tournant vers le Maître du clan, The-Berserker s'inclina légèrement
- Ce sera un honneur pour moi.

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Cordialement The-Berserker

Regardant fixement cette marque, que lui as laissé ce dernier, The-Berserker pris conscience que la moindre erreur pourrai lui coûter la vie. Mais plus déterminé que jamais le jeune Sacrieur rétorqua d'une voix haute, pour que tout le monde puisse l'écouter.

- Ecoutez-moi ! A la mort de mon vielle ami, j'ai pris conscience que toutes ces valeurs enseignées devaient être appliquées seulement pour ceux à qui on accordait de l'importance.
J'avais une envie de venger mon ami, une envie si terrible que cela ne m'as pas déranger de détruire tout sur mon passage afin d'arriver au Mont Torrideau.
The-Berserker essuya la sueur qui coulait sur son front, puis repris.
- Bref, désormais je n'es ni peur, ni crainte, je serais près à tous pour les miens,
certes ses valeurs m'on aider à grandir, mais je pense que un jour ou un autres il faut choisir son camp.
Pour moi, la puissance s'obtient en devenant sans pitié, c'est d'ailleurs pour cela que je viens vers vous.
Un silence se fit ... Un silence si long que le jeune Sacrieur se voyait déjà mort.
Malm, la propriétaire de la grande demeure lui lançait un regard noir, qui fit reprendre le monologue du Sacrieur.
- Pour ce qui es des meurtres, je pense être assez expérimenter dans ce domaine.
Mes badges Bontariens et mes points d'honeurs pourront vous le prouver.
Je suis près à relever n'importe quel défie pour vous prouvez ma loyauté envers vous !

Le Sacrieur se mit à genoux afin de prouver à quel point il souhaitait rejoindre se clan sans pitier, puis attendis patiemment une réponse de l'un d'eux.

Le jeune Sacrieur se relève, regarda avec insistance Aorewen.

- Ah oui c'est vrai, tu es Aorewen, un sacrieur de cercle de puissance 199 ! Je t'es croisé mainte et mainte fois lors de mes périples.
Je sais que tu es un maître dans le meurtre de Bontarien, et que ton grade fait rêver plus d'un.
Après une courte réflexion ...
- Dernièrement, je t'ai aussi croisé vers Le nid du kwakwa, ma jolie dragodinde couleur chocolat, était essoufflé et avait besoin de repos.
Mais comment se rappeler d'un jeune sacrieur comme moi, lorsque notre cercle est hautement supérieur à celui-ci ?

The-Berserker demanda pardon à Aorewen de ne pas l'avoir reconnu de suite, puis ne dit plus un mots.

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Je m'escuse, je débute en Role Play, mais il est vrai que je ne devrais pas faire parler vos membres dans mon RP... Cela ne se reproduira plus !
Cordialement The-Berserker

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Raubert entendit la cohue provoqué par le Sacrieur ce qui le réveilla de son profond sommeil au fond de l'antre. Le sacrieur candide lui semblé si frêle et et peureux qu'en le voyant il fit un affreux rictus. Mais ce jour là Raubert était de bonne humeur alors il interrogea le sacrieur.

"Mais que fais tu là ? je ressens en toi trop de bonté, quels sont tes vocations et en quoi serait tu utile à la Magnificence de la Nocere ?"

Sur ces mots l'eniripsa pointa son bâton en direction du sacrieur en attendant une réponse.

Le jeune sacrieur poussa le bâton de l'éniripsa et répondit d'une voix ferme et déterminer.

- Je venu ici, car je pourrai être le guerrier qu'il vous manque.
Je pense avoir fait mes preuves auprès de Djaul, et je suis actuellement le disciple de Brumaire.
Je peut être plus puissant et plus cruel que vous ne pouvez l'imaginer, pour arriver à mes fin !
Ceux qui pense le contraire sont inconscient, et ferais mieux de s'assurer de quoi je suis capable avant de me juger.
Grâce à mes talents de Sacrieur, et à ma maîtrise du combat, mes ennemis n'ont qu'a bien se tenir !
Cette guilde est ce qu'il me faut, ce dont je pense avoir besoin pour devenir encore plus puissant.

The-Berserker sortit ses dagues.

- Mettez moi à l'épreuve, vous ne serrez pas déçu !

Puis le sacrieur, l'aura étincelant autour de lui, patienta, en attendant une réponse de la part de l'un des membres..

- Tu te dis "disciple de Brumaire" et tu fais tes preuves envers Djaul ? Rit. Si cela était vrai, Brumaire t'arracherais les yeux.

Le Sacrieur sortit de l'ombre et avança vers l'intrus.

- Plus puissant et plus cruel qu'on ne peut l'imaginer ?

Darkelius était maintenant tellement près de l'étranger qu'il pouvait sentir sa respiration sur lui. Il le regardait fixement dans les yeux et son visage ne laissait paraitre ni émotion, ni sentiment.

- La Nocere a donné un vrai sens au mot cruauté. Tu penses pouvoir faire mieux que nous ? Tu sors tes dagues pour impressionner ? Reculant de quelques pas et sortant ses dagues à son tour. Nous sommes à égalité. Que vas-tu faire de cruel que je ne saurais faire ?

- Ne déforme pas mes phrases ! Et encore moins ce que mes gestes signifie !

Répondit le jeune sacrieur en fixant Darkelius

- Le fait que j'ai fait mes preuves à Djaul, ne veux en aucun cas dire, que je le fait encore ! Sachant que je viens de vous dirent que je suis actuellement le disciple de Brumaire .

Le sacrieur continua après une longue inspiration

- De plus, qui à dit que je me trouvais donc plus cruel que vous ?
Si je souhaite rejoindre votre clan à tout prix, c'est justement pour devenir plus puissant, car la puissance va avec la cruauté et ainsi de suite.

La colère du sacrieur montait de plus en plus, déçu de ne pas avoir été compris ...

- Et enfin, pourquoi sorts-tu tes dagues à ton tour ?
Si j'aurai vraiment voulu attaquer un membres de votre Guilde, je ne serais pas venue chez vous postuler !
Tu aurais dus comprendre que le fait que je sort mes dagues, ne faisait que montrer ma motivation, que je me trouvais près à toutes épreuves, que vous serriez près à me lancer.

The-Berserker avança un peu, puis interrogea Darkelius avec un regard machiavélique

A moins que tu ne veuilles tout simplement me défier ?

The-Berserker rétorqua

- Bien sur que je ne suis pas au maximum, me cercle de puissance maximum n'es pas encore atteint !
Par contre, je fait partit des meilleurs de ceux qui sont au alentour de mon cercle de level actuel .
Je ne prend pas ça pour un jeux, toi tu prend surement ça pour une plaisanterie, mais ça ne peu être que du sérieux . Je suis loin d'être un sacrieur débutant mal grès mon faible cercle de level.

- Je suis un maître des parchemins liés, je suis un Espion de l'ombre et bientôt Chasseur d'âmes. Mes ennemies ne me résistent pas ! Je suis même plus puissant que certains adversaires de cercle de puissance 199 !
- Je peut amener le mal où il ne peut accéder, amener le mal chez une personne avant de la détruire .

Vous voulez savoir ce qui me rend exceptionnel ?

- Je suis près à tout pour ce que je mérite d'avoir, et je ne relâche jamais les bras !

Puis le Sacrieur se tailla une veine pour prouvez son honnêteté

Yopimarus se retourna, quelque peu exaspéré par ses sbires. N'avait-il pas dit qu'on en reparlerait à la taverne ? Mais visiblement, il était trop tard, l'interrogatoire se ferait ici. Mais aussitôt retiré, lorsqu'il vit le sacrieur se mutiler et le sang dégouliner au sol, il ne put s'empêcher un cri d'énervement.

-Et la propreté, par Djaul ? Bien, malgré ton cercle de puissance qui n'est certes pas particulièrement impressionnant, ta ténacité m'impressionne. Tu sembles avoir œuvré pour Oto-Mustam également, et c'est une excellente chose. Ne t'attends pas non plus à de l'assistanat: ta puissance augmentera très probablement en notre sein si tu parviens à être des nôtres, mais ce sera à toi de faire en sorte que cela arrive. Nous verrons bien ce qu'il adviendra de toi... Peut-être dans quelques jours, tu seras appelé à comparaitre devant nous pour un ultime entretien. Ou peut-être pas.

Et pour avoir le calme, l'eniripsa après avoir salué le postulant, s'en alla dans son office.

- Très bien ! A bientôt je l'espère !

Le Sacrieur salua Yopimarus ainsi que les autres membres de la Primum Nocere, puis repartit accomplir d'autres quetes pour Oto-Mustam, en attendant de recevoir ( peut-être ) un appel de l'un des membres .

Berserker, en attendant cette voix, s'agenouilla puis dit ses mots...

- Je suis plus que près !
Par Djaul, je ferais tout pour vous honoré, et pour servir Oto-mustam et sa ville Brâkmar !

Le vent soufflait de plus en plus fort ...

- La Nocere passera avant tout autre intérêt !
Je suis près à faire souffrir tout ceux qui se mettrons sur nos pas !