La mort d'une famille.. [porté disparu]

Un beau jour de Printemps , le 22 Martalo 641 . Un couple de paysan met au monde un petit être du nom de Dounky . Vivant dans le beau continent d'Incarnam , il alla a l'école juste a coté de chez lui , étudiant l'art des arts martiaux et du combat . A l'age de 11 ans il se rapprocha de son cousin , revenu récemment de la guerre des 2 clans ,lui racontant ses moments passé la bas . Fasciné par la guerre et la vu du sang . Son père , travaillant au service d'Oto Mustam , fut convoqué un jour de Guerre . Quelques heures plus tard , le père revient de sa convocation énervé et en colère . Un de ses frères vient de mourir au combat face a Amaiyero , le chef Bontarien . Fou de rage il attrapa le petit Dounky , encore entrain de manger son steak de Bouftout et il lui donna un arc et des flèches pour aller s’entraîner a l'art du tir entre père et fils . Apres quelques années d'entrainement , Dounky fut adepte de l'arc et fut recruté dans l'armé Brakmarienne au coté de son père . A deux jours de Nowel , sous la neige , un combat fut déclaré au Nord des plaines de Cania . L'affrontement fut des centaines de victimes , Dounky aperçu son père attaqué par 3 Bontarien , il s’élança a sa rescousse . Un tour s'effondra devant lui , le projetant a quelques mètres . Il vu son père mourir sous ses yeux par Oo-Pretty . Une flèche atteint le bras de Dounky , il finira sa journée tel un mort sur son lit de campement . 3 jours après , Dounky se réveilla dans une maison a Abstrub , toute sa famille fut tué dans une embuscade a Incarnam . Dounky décida de se venger de tous ces Bontariens . Il les tueras un par un sans pitié . Apres l'enterrement de sa famille , Dounky reçu une lettre signé " Ton Père " . Cette lettre était enfaîte une liste de choses a faire . Des quêtes a travers le Monde des douzes , des provisions a apportés au quatre coin d'Incarnam , ect ... A la fin de cette liste , son père marqua


Ps : si ton envie de vengeance prend le dessus , contacte la Primum Nocere , dit leur que tu sera un combattant au talents extraordinaire .


Dounky suivi le conseil précieux de son père , et contacta un des membres de Primum Nocere . Cette personne donna des instructions précise sur le recrutement .

Je m'apelle Dounky , je suis cra terre level 192 . Voila pour mon RP , j'attend votre réponse avec impatience .

La jeune femme se promenait lascivement, bras-dessus bras-dessous avec un vieil ami Sacrieur. Les deux sans-âmes allaient et venaient à leur guise, entre les maisons délabrées et les catins infectes, leur chemin tout tracé vers la demeure de la Primum Nocere. L'homme, galant, ouvrit la porte à Nowah et la fit entrer la première. S'empressant d'entrer sans se faire voir, ils refermèrent la lourde porte de fer foncé derrière eux, les engouffrant ainsi dans la pesante obscurité qui régnait, de marbre, en ce lieu sinistre. La fée se retourna prestement, prit la main de son compagnon de route et l'attira vers le fond de la salle, vers les escaliers menant au bureau du Meneur. Ce dernier se laissa guider, amusé par la gambade de son amie quand quelque chose attira son attention. Tirant d'un coup sec sur le poignet de l'Eniripsa, il la fit glisser dans son dos et avança lentement vers une forme, penaude, qui se tenait dans un des coins de la longue salle. Cette dernière lui tendit une lettre, chiffonnée, qu'il lui arracha afin de l'ouvrir. Nowah s'écarta légèrement et vit dans l'embrasure du bras de l'homme le parchemin ouvert à vue. Elle le lu avidement et perça le front de l'inconnu de ses prunelles féroces. Le Sacrieur ne semblait pas plus surpris que mécontent, il semblait tout simplement las. La fée prit le papier et le froissa entre ses longs doigts graciles. Elle le jeta sur la forme vague.

- Nombre de ceux qui nous ont rejoint on eut leurs parents battus, violés et tués sous leurs yeux, la seule différence qu'ils avaient avec toi est qu'ils avaient une toute autre motivation à faire partie de notre Ordre, pas la simple envie de se trouver des camarades de baston, persifla la menue chose.
- Calme-toi, p'tit Piou, prononça calmement le Sacrieur.

Faisant fit de sa requête, Nowah enchaîna les paroles discourtoises et finit par tirer le bras de son compagnon en continuant de jurer. Ce dernier haussa les épaules à l'attention de l'inconnu, l'air de dire qu'il ne pouvait rien faire tant que la jeune femme serait dans cet état. La rage tomba aussitôt que le silence sur la pièce. On n'entendit plus bruit, plus un seul. Les deux adultes avaient quitté et la salle avait perdu de sa ferveur suite au passage de la disciple de Djaul.